Actualités

Communication sur la traduction de Hamlet
25 juin 2025

« Traces de lecture pour qui et pour quoi ? La traduction de Hamlet par Marcel Schwob », Communication de Yasushiro Ito, doctorante, dans le cadre des 7e doctoriales de la Société française de littérature générale et comparée (SFLGC), consacrées aux « Traces de lectures » et qui accueilleront 24 doctorantes & doctorants à l’Université de Reims, du 24 au 25 juin 2025.

 

Matérielle ou immatérielle, la trace de lecture intervient à différents moments de l’expérience littéraire, dans des pratiques diverses, spontanées ou normées, individuelles ou collectives. Elle s’invite dans les marges des livres, dans les autobiographies et les mémoires, dans les essais critiques, dans les archives des œuvres littéraires, mais aussi dans la matière des textes eux-mêmes : liée au processus d’écriture, elle construit, de façon plus ou moins explicite, un rapport à des textes, des figures, des modèles. Ces derniers marquent les textes concrètement ou hantent l’horizon des œuvres, selon des modalités très diverses, qui vont de l’hommage à la parodie, de l’inscription dans une tradition à la contestation des valeurs reçues. Aborder l’intertextualité sous l’angle de la trace invite ainsi à explorer la dynamique du lien entre présence textuelle et imaginaire littéraire. La littérature comparée, qui étudie le dialogue entre les textes, accueille volontiers cette notion ; elle informe notamment l’expérience de la traduction, que l’on peut comprendre comme un processus interprétatif, et qui porte en creux les traces d’une langue dite « étrangère ». Elle relève aussi, plus largement, des études de réception et de structuration des imaginaires littéraires.

 

Lieu de la manifestation : Bâtiment 13, Campus Croix-Rouge, 57 rue Pierre Taittinger, Reims.

 

https://www.fabula.org/actualites/127929/7e-doctoriales-de-la-sflgc-traces-de-lectures-interpretation-reception-creation.html 

3 communications sur Marcel Schwob
mars-avril 2025

Signalons 3 communications

où il sera question de Marcel Schwob :

– Colloque La poésie en revue, XIXe-XXIe siècles, 26-28 mars 2025, Université Sorbonne Nouvelle, Maison de la Recherche, 4 rue des Irlandais, 75005 Paris, salle Athéna. Communication d’Évanghélia Stead, le mercredi 26 mars à 17h30 : « Pour une lecture visuelle de la poésie en revue » (communication qui abordera les éditions de « Sismé » [Mimes] en revue »).

– Séminaire Des nugae au junk : pensée du rebut de l’Antiquité à l’extrême contemporain, Université de Bordeaux, le 2 avril 2025 de 15h30 à 17h30. Séance n° 10 : Agnès Lhermitte, « Mœurs des diurnales (1903) de Marcel Schwob : un pot-pourri énigmatique ».

https://plurielles.u-bordeaux-montaigne.fr/seminaires/des-nugae-au-junk-pensee-du-rebut-de-l-antiquite-a-l-extreme-contemporain

– Colloque Médiévalismes fin-de-siècle : Le Moyen Âge vu par la Décadence (1870-1914), à Nantes, les 3 et 4 avril 2025. Communication d’Agnès Lhermitte le vendredi 4 avril à 9h15 : « Marcel Schwob, médiéviste et conteur ».

https://lamo.univ-nantes.fr/Medievalismes-fin-de-siecle-Le-Moyen-Age-vu-par-la-Decadence-1870-1914-808

Spicilège – Cahiers Marcel Schwob n° 17 (2024)

SPICILÈGE – CAHIERS MARCEL SCHWOB n° 17 (2024)

(janvier 2025, 152 pages)

 

Directeur de publication :

Bruno Fabre

 

Directrice de rédaction :

Agnès Lhermitte

 

Rédaction :

Alain Chevrier – Jean-Louis Meunier – Jonathan Wenger

 

Prix : 15 euros

 

Les commandes sont à adresser à la Société Marcel Schwob :

societe.marcel.schwob@gmail.com

 

Éditorial

Bruno Fabre

 

Les poésies de jeunesse de Marcel Schwob

(première partie)

Marcel Schwob : poète, même en vers ?

Agnès Lhermitte

 

Poèmes érotiques de Marcel Schwob

Alain Chevrier

 

Résonances

 

Un recueil inspiré par Mimes :

Coins and Medals (1921) de Charlotte Hardin

Jonathan Wenger et Agnès Lhermitte

 

Coins and Medals

Charlotte Hardin

Traduction par Jonathan Wenger

 

Robert Desnos, le fait divers et Marcel Schwob en mars 1936

Stephen Steele

 

Poèmes de minuit (extraits)

Robert Desnos

 

Glanures

Bruno Fabre

 

La Société Marcel Schwob a 20 ans

Bruno Fabre

 

Traduction du Livre de Monelle en galicien
par Xoán Abeleira (2024)

Marcel Schwob, O libro de Monelle, tradución e notas de Xoán Abeleira, A Coruña [La Corogne], Medulia, 2024.

 

Xoán Abeleira (né à Maracay, au Venezuela, en 1963) est poète, polygraphe, plasticien, compositeur et interprète de ses chansons. Il est connu aussi pour ses nombreuses traductions en castillan ou en galicien : Illuminations d’Arthur Rimbaud, poèmes d’auteurs surréalistes et, tout récemment, Le Livre de Monelle de Marcel Schwob[1].

O libro de Monelle est enrichi du conte « Les Milésiennes » (Le Roi au masque d’or), auquel « L’Insensible », un des récits des « Sœurs de Monelle », fait allusion. L’illustration de couverture, créée par Xoán Abeleira, est un collage/inversage – selon l’expression de son auteur – réalisée en hommage à Robert Desnos et Marcel Schwob.  La figure féminine et le titre (en français) de l’œuvre, « À la mystérieuse », évoquent l’apparition fantomatique et la silhouette troublante et fugace de Monelle. La quatrième de couverture comporte une longue citation de l’écrivain espagnol Enrique Vila-Matas[2], rappelant les nombreux auteurs influencés par Schwob, en particulier dans le monde hispanophone.

L’intérêt majeur de cette parution, outre la traduction nouvelle d’un livre de Schwob en galicien, réside dans les commentaires en fin de volume qui font de cette publication la première édition critique du Livre de Monelle. Les notes de Xoán Abeleira portent sur ses choix de traduction[3] et proposent des rapprochements inédits, notamment avec les textes de la spiritualité bouddhiste. L’ensemble procède à la fois d’une traduction rigoureuse et de la vision très personnelle du livre de Schwob par un artiste-poète d’aujourd’hui. [B. F.]

 

[1] C’est le deuxième livre de Marcel Schwob à être traduit en galicien, après deux traductions de Vies imaginaires parues en 2017. Voir Spicilège – Cahiers Marcel Schwob, n° 16, 2023, p. 165.

[2] Cette citation est tirée d’un article de l’écrivain, « Sobre todo lean a Schwob » [Lisez surtout Schwob], publiée dans El País, le 24 mars 2017.

[3] Xoán Abeleira a eu l’amabilité d’intégrer à ses notes ses échanges épistolaires avec la Société Marcel Schwob. Nous l’en remercions.

 

Traduction de « Lucrèce, poète »
par Samuel Kunkel (États-Unis, 2020)

Marcel Schwob, « Lucrèce, poet », Echoes of a Natural World: Tales of the Strange and Estranged, Edited by Michael P. Daley. Introduction and translations from the French by Sam Kunkel, Michigan City (Indiana, États-Unis), First To Knock ed., 2020.

 

Samuel Kunkel a soutenu en 2020 une thèse de doctorat en littérature comparée, intitulée L’Orphisme dans le roman post-romantique en France et en Grande Bretagne, 1880-1919 : un idéalisme du salut. Édouard Schuré, Joséphin Péladan, Arthur Machen, Algernon Blackwood. Il en a tiré un livre, L’Orphisme et le roman post-romantique, publié aux éditions Otrante, en 2023. Samuel Kunkel a également traduit des auteurs français aux éditions First To Knock : un roman de Gustave Kahn (The Solar Circus, 2023) et un recueil d’œuvres mystiques en prose d’Édouard Schuré (A Beam of Sunlight in the Deep Forest, 2024). Il a inauguré la toute récente collection « Romans fin-de-siècle/Romans d’avant-garde », avec une édition critique d’Istar de Joséphin Péladan[1].

Son goût pour la littérature de l’étrange transparaît aussi dans une anthologie de onze contes (Echoes of a Natural World: Tales of the Strange and Estranged, 2020), qui interrogent « l’influence de la nature sur l’esprit et l’influence contre-nature de l’esprit sur la nature » (4e de couverture). L’ouvrage mêle des textes d’auteurs américains modernes et contemporains (Michael P. Daley – fondateur des éditions First To Knock et concepteur du livre – Lou Perliss, Dan A. Stitzer, Jeremy Kitchen, Janice Law, Julia Bembenek, Mark Iosifescu) et ceux d’écrivains français de la fin du xixe siècle, traduits par Samuel Kunkel (Joris-Karl Huysmans, « Camaïeu rouge », Le Drageoir aux épices ; Jean Lorrain, « Le Crapaud », Sensations et souvenirs ; Marcel Schwob, « Lucrèce, Poète », Vies imaginaires ; Villiers de l’Isle-Adam, « L’Agrément inattendu », Histoires insolites).

Parmi ces variations sur la relation de l’homme avec la nature, « Lucretius, Poet » propose une nouvelle traduction[2] de la vie imaginaire de « Lucrèce, poète », après celles de Lorimer Hammond (1924), Harry Hives (1991), Lady Jane Orgasmo (2009), Stephen Romer (2013) et Chris Clarke (2018).  [B. F.]

 

[1] Joséphin Péladan, Istar, cinquième roman de La Décadence latine (Éthopée), texte établi, présenté et annoté par Samuel Kunkel, Paris et Tusson, Société des Amis d’Alfred Jarry et Du Lérot éditeur, « Romans fin-de-siècle / Romans d’avant-garde », 2024.

[2] Voir ma bibliographie des traductions de Vies imaginaires en anglais, dans Spicilège – Cahiers Marcel Schwob, n° 16, 2023, p. 161-162 et 171-172.

 

 

Traduction d’articles sur Villon et les Coquillards
par Gernot Krämer (Schreibheft, 2024)

Marcel Schwob, « Die Coquillards und François Villon », « Der Jargon der Coquillards im Jahre 1455 », traduits du français par Gernot Krämer, Schreibheft. Zeitschrift für Literatur, n° 102, Essen, Rigodon Verlag, février 2024, p. 63-70 et 71-78.

 

Gernot Krämer est connu pour ses traductions en allemand d’œuvres de Guillaume Apollinaire, de Barbey d’Aurevilly, de Julien Gracq, de Joris-Karl Huysmans et de Marcel Schwob. Auteur d’une thèse sur ce dernier (Marcel Schwob, Werk und Poetik, Bielefeld, Aisthesis Verlag, 2005) et d’une traduction en allemand de Cœur double et du Voyage à Samoa[1], cet éminent schwobien a publié en 2024 une traduction de deux articles critiques de l’écrivain dans la revue de littérature Schreibheft. Il s’agit de textes consacrés à l’argot des Coquillards et aux relations entre cette bande de malfaiteurs et le poète François Villon[2] :

– « Les Coquillards et François Villon », minute d’une lecture faite à l’Académie des Inscriptions, le 2 avril 1890 ; publication posthume par Pierre Champion dans : Marcel Schwob, François Villon, Rédactions et Notes, Imprimerie de J. Dumoulin, 1912, p. 65-77.

– « Le Jargon des Coquillards[3] en 1455 », publié originellement dans les Mémoires de la Société de Linguistique de Paris (tome septième, 2e et 3e fascicules, 1890 et 1891, respectivement p. 168-183 et 296-320 ; rééd. Émile Bouillon, 1892).

Gernot Krämer a privilégié la première partie de cet article et les nombreuses notes de Schwob, laissant de côté les « Extraits du procès des Coquillards » et le « Glossaire du jargon de la Coquille[4] ».

Les deux textes sélectionnés s’inscrivent dans un dossier sur les six ballades en jargon de François Villon, publiées dans leur version originale et dans une traduction en allemand et en slang. Elles sont assorties de l’essai de Robert Louis Stevenson, « François Villon, student, poet and housebreaker » et d’autres articles critiques dont ceux de Schwob[5].

Au travers des écrits du jeune érudit (âgé alors de vingt-trois ans seulement), le lecteur germanophone est convié à une enquête philologique menée à partir du Procès des Coquillards en 1455, à Dijon, et au réexamen des poèmes de Villon en jargon, à la lumière de l’argot des malfaiteurs. Mais ces études de linguistique et d’histoire littéraire fournissent un autre plaisir : celui de se replonger dans l’atmosphère des contes de Schwob qui se déroulent au xve siècle et d’y retrouver certaines silhouettes des vies imaginaires d’Alain le Gentil et de Katherine la Dentellière. [B. F.]

 

[1] Marcel Schwob, Das gespaltene Herz, traduit et présenté par Gernot Krämer, Berlin, Elfenbein Verlag, 2005 ; Marcel Schwob, Manapouri, Reise nach Samoa 1901-1902, édition, traduction et postface de Gernot Krämer, Berlin, Elfenbein Verlag, 2017. Manapouri a reçu en octobre 2018 le premier prix récompensant les réalisations des maisons d’édition indépendantes en Allemagne.

[2] Les références des textes données par Gernot Krämer ne sont pas satisfaisantes.

[3] Schwob orthographie toujours « Coquillars » sans d, dans l’article original.

[4] Ces textes ont été recueillis plus tard dans Les Œuvres complètes de Marcel Schwob éditées par Pierre Champion (Mélanges d’Histoire littéraire et de Linguistique, vol. VII, 1928) et plusieurs fois republiés depuis, dans une leçon parfois différente (voir Marcel Schwob, Œuvres, texte établi et présenté par Sylvain Goudemare, Paris, Phébus, « libretto », p. 901-955).

[5] En fin de volume, une brève présentation de Marcel Schwob met surtout l’accent sur son activité de traducteur et évoque sommairement les traductions de son œuvre en langue allemande. Le texte de Jorge Luis Borges sur Vies imaginaires accompagne cette notice bibliographique.

 

Colloque « Romans d’avant-garde… »
Université de Paris Nanterre (29 fév-1er mars 2024)

Les Romans d’avant-garde à l’âge d’or

de la presse symboliste en France (1885-1905)

 

Université Paris Nanterre
29 février et 1er mars 2024
Bâtiment Ricoeur, Salle des conseils, 4e étage

 

Ce colloque constitue l’épilogue d’un programme de recherche international consacré à la réévaluation, sous un prisme analytique renouvelé, d’un corpus de romans avant-gardistes, souvent relégués à la périphérie du champ littéraire de la Belle Époque et principalement issus des mouvements Décadent et Symboliste.

Malgré la richesse des analyses consacrées aux romans décadents, le roman symboliste a longtemps été négligé par la critique littéraire jusqu’à l’aube du XXIe siècle. Cette lacune se manifeste notamment par la sous-représentation de ces œuvres dans le panorama des courants romanesques du XIXe siècle, attribuable en partie à la prédominance accordée au symbolisme en tant que mouvement poétique et à une approche essentiellement thématique des études littéraires antérieures.

L’originalité de ce programme de recherche réside dans l’examen des interactions entre les œuvres symbolistes et décadentes et le paysage médiatique de la fin du XIXe siècle, afin de mettre en exergue le rôle des collaborations et des institutions littéraires dans l’émergence de nouvelles formes. Une attention particulière sera accordée à la dernière décennie du siècle, période marquée par l’apparition de maisons d’édition avant-gardistes et par la création de collections artistiques au sein de revues telles que le Mercure de France et La Revue blanche, formant un véritable écosystème médiatique.

Le colloque est structuré autour de trois axes principaux: l’analyse du système socio-historique du roman d’avant-garde, l’évolution générique du roman symboliste, et l’étude des innovations formelles, stylistiques et narratives.

 

Programme

 

Jeudi 29 février

 

9h30: accueil

9h45: Introduction  (Yosuké Goda et Julien Schuh)

10h-12h: Presse et édition

Julien Schuh (Université Paris Nanterre): Le marché des éditeurs d’avant-garde: Savine, Deman, Dentu et les autres

Yosuké Goda (Université de Yamagata): Les éditions du roman autour de la Revue indépendante

Yoan Vérilhac (Université de Nîmes): Les formats du récit en prose

13h30-15h: La critique romanesque

Helen Craske (Merton College, University of Oxford): Au-delà de la perversité : Rachilde, écrivain et critique de l’avant-garde

Jean-Louis Meunier : De René Doumic à Saint-Georges de Bouhélier : variations sur le roman

15h30-17h30: Figures et caractères I

Romain Enriquez (Cellf 19-21): L’Absente et La Passante d’Adrien Remacle

Christophe Longbois-Canil: Fénéon: un personnage de fiction

Alexia Kalantzis (Université Paris Cité, CERILAC): « Il n’y a, en littérature, qu’un sujet, celui qui écrit » : discours sur soi et expérimentation formelle dans les romans de Remy de Gourmont

Vendredi 1er mars

10h-12h: Figures et caractères II

 

Clément Dessy (FNRS, Université libre de Bruxelles): La traduction de romans à La Revue blanche

Guy Ducrey (Université de Strasbourg): Anna De Noailles romancière symboliste?

Les cas limites et inclassables. Table ronde:

Bruno Fabre (Président de la Société Marcel Schwob), “Marcel Schwob, Le Livre de Monelle”,

Franck Javourez, “Henri de Régnier, La Double Maîtresse

et Evanghelia Stead (UVSQ Paris-Saclay), “Gabriel Mourey, L’Embarquement pour ailleurs

13h30-15h30: Inventions génériques I

Vincent Gogibu (CHCSC, UVSQ Paris-Saclay): Il y a une volupté dans la douleur, le roman symboliste d’un poète : Joachim Gasquet

Adeline Heck (FNRS, Université libre de Bruxelles, Philixte et LaM): Les Lauriers sont coupés d’Édouard Dujardin et les origines musicales du monologue intérieur

Jessica Desclaux (FNRS, UClouvain) : Le Culte du Moi. Barrès ou de la résistance au genre du roman

16h-17h30: Inventions génériques II

Franck Javourez: Le Roman wagnérien

Sophie Lucet (Université Paris Cité): Le roman théâtral symboliste

Organisation

 

Yosuké Goda (Université de Yamagata) & Julien Schuh (Université Paris Nanterre)

Bibliographie chronologique sur Marcel Schwob
2008-2023

Cliquer ici

pour accéder à la bibliographie chronologique

sur Marcel Schwob

(2008-2023)

 

Cette bibliographie chronologique complète les 2 bibliographies suivantes :

 

– Bruno Fabre, Bibliographie sur Marcel Schwob (depuis 1985), avec quelques études plus anciennes, Paris, Société Marcel Schwob, 2011, 24 p. ; bibliographie mise en ligne sur le site Marcel Schwob, http://www.marcel-schwob.org/?p=470

 

– John Alden Green, « Bibliographie pour Marcel Schwob », in Marcel Schwob, Correspondance inédite, précédée de quelques textes inédits, Genève, Droz, 1985, p. 215-252.

 

Spicilège – Cahiers Marcel Schwob n° 16 (2023)

SPICILÈGE – CAHIERS MARCEL SCHWOB n° 16 (2023)

(janvier 2024, 208 pages)

Direction : Bruno Fabre

Rédaction :

Bruno Fabre – Agnès Lhermitte

Jean-Louis Meunier

Prix : 15 euros

Les commandes sont à adresser à la Société Marcel Schwob :

societe.marcel.schwob@gmail.com

Éditorial

Bruno Fabre

Résonances de Vies imaginaires

aux XXe-XXIe siècles (première partie)

 

Pierre Veber, auteur de vies imaginaires

Bruno Fabre

Vies imaginaires de Marcel Schwob

et Songes perdus de Han Ryner

Agnès Lhermitte

Ritratti di ignoti e non de Piero Fornasetti :

une évocation de Vies imaginaires

Bruno Fabre

Lucio Del Pezzo et Marcel Schwob

Bruno Fabre

La Vie de Cyril Tourneur, imaginée

par Marcel Schwob, réalisée par Jean-Pierre Gras

Danièle Berton-Charrière

Olimpia de Cécile Minard : une fiction biographique

dans le sillage de Vies imaginaires

Bruno Fabre

Des « vies imaginaires » au musée :

Les Fantômes du Louvre d’Enki Bilal

Agnès Lhermitte

Patricia Farazzi, Michel Valensi :

Marcel Schwob, « fantôme bienveillant »

Agnès Lhermitte

Lettres du chemin de pierre (extraits)

Patricia Farazzi, Michel Valensi

Relire Schwob au XXIe siècle : le cas des Vite sognate

del Vasari d’Enzo Fileno Carabba

Giorgia Testa

Entretien avec Enzo Fileno Carabba

Textes retrouvés

Jean de Tinan, lecteur de Vies imaginaires

Bruno Fabre

  1. Marcel Schwob

Jean de Tinan

Trois articles critiques sur Vies imaginaires

Bruno Fabre

Critique littéraire (Le Journal, 13 juin 1896)

[sur Vies imaginaires et La Croisade des enfants]

Armand Silvestre

 

Vies imaginaires – Marcel Schwob

(Le Phare de la Loire, 18 juin 1896)

Léon Brunschvicg

Bibliographie (La Nouvelle Revue, sept-oct. 1896)

[sur Vies imaginaires]

Claudius Jacquet

Bibliographie

Bruno Fabre

Vies imaginaires en éditions séparées

Les traductions de Vies imaginaires

Traductions de Vies imaginaires

Traductions de Vies imaginaires en éditions séparées

Bibliographie en caractères japonais

Takeshi Matsumura

Glanures

Bruno Fabre, Agnès Lhermitte, Takeshi Matsumura

Hommage à Christian Berg

Agnès Lhermitte